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    Les nouveaux chiens de garde - Bonus | YouTube
    Petit florilège du lexique anti-grève médiatique.

    Noir (adj.) : Qualifie un jour de grève. Peut se décliner tous les jours de la semaine (rouge est réservé à la couleur des embouteillages du week-end)
    Grogne (n.f.) : Terme universel pour qualifier l'expression de toutes revendications qui s'expriment un jour noir (le gréviste grogne, l'éditorialiste analyse)
    Otage (n.m.) : Qualifie les victimes de ceux qui grognent un jour noir (peut être facilement illustré par un micro trottoir)
    Galère (n.f.) : Vécue par les usagers pris en otage par ceux qui grognent un jour noir (souvent associé à pagaille)

    Voir aussi http://www.acrimed.org/Lexique-pour-temps-de-greves-et-de-manifestations-version-2010

    Via "LDB #8 - Y'en a marre d'être pris en otage !" (https://www.youtube.com/watch?v=E4kpR8NLFXQ)
    − Yvain
    Sun Nov 6 13:18:59 2016 - permalink -
    - https://www.youtube.com/watch?v=Xgx2Zgjbzig
    médias novlangue télévision vocabulaire
  • La langue des maîtres et sa fabrique | Les mots sont importants (lmsi.net)
    « Après plus de dix ans de travail critique au sein du collectif Les mots sont importants, si l’on doit caractériser à grand traits la langue des maîtres, on peut dire qu’elle repose sur une logique binaire au fond très ancienne, déjà à l’œuvre dans la novlangue totalitaire ou coloniale décrite par Orwell : euphémisation de la violence des dominants (État, patronat, pression sociale masculiniste, hétérosexiste et blanco-centriste), et hyperbolisation de la violence des dominé-e-s...  »

    « Un paradoxe analogue est à l’œuvre dans une autre invention langagière récente, qui a connu un immense succès dans le débat médiatique, au point de devenir également une catégorie d’analyse spontanée pour les journalistes d’enquête : le « communautarisme ». C’est en effet au moment où des citoyen-ne-s discriminé-e-s et relégué-e-s (banlieusard-e-s, racisé-e-s, femmes, homosexuel-le-s, lycéennes et étudiantes voilées…) s’unissent pour demander à être traités comme les autres, au moment où ils et elles demandent à rejoindre les autres dans des territoires, des univers sociaux ou des modes de vie qui leur sont interdits (les centre-ville, les lieux de loisir, le travail qualifié, le mariage et la parentalité, l’école publique, le monde associatif et politique, les postes de pouvoir), qu’on les accuse de se particulariser, de se replier sur eux-mêmes et de diviser la société française. »
    − Yvain
    Sat Aug 29 08:56:29 2015 - permalink -
    - http://lmsi.net/La-langue-des-maitres-et-sa
    médias vocabulaire
  • Homme proféministe : un oxymore | Suck My Glock!
    J'ai découvert le terme "pro-féministe" il y a 3 semaines (http://sh.ack.red/?22X-1g), et depuis j'ai vu plusieurs critiques comme celles-ci sur l'utilisation de ce terme :

    « Réfléchissons d'abord quelques secondes à l'origine de ce terme. Pourquoi ne pas parler d'"hommes féministes" ? Après tout, un homme peut très bien être investi contre le sexisme, etc. ?
    L'idée, c'est d'admettre qu'il y a un rapport de classe entre hommes et femmes, que les hommes sont en position de dominants, et par conséquent qu'un homme ne peut pas se dire féministe et que le mieux qu'il puisse faire c'est de la fermer un peu.
    Jusque là, très bien. Le problème, c'est pourquoi vouloir se dire "proféministe" ? Tu ne peux pas avoir l'excuse d'être un peu ignorant là-dessus et de penser qu'un homme peut se dire féministe, puisque tu utilises clairement un autre terme ; pourtant, tu décides quand même que c'est très important de mettre en valeur que tu prends de la place dans la lutte des femmes.
    Si un homme a sincèrement envie de soutenir les luttes féministes, très bien, mais quel besoin d'avoir un nom pour se désigner en tant que "soutien officiel à la lutte des femmes" ? Je pense que c'est, en soi, même si c'est fait inconsciemment, déjà une façon de vouloir avoir une reconnaissance, une place au sein de cette lutte, ce qui est en contradiction totale avec le fait de ne pas vouloir se désigner "féministe". »

    Alors quoi, il faudrait que les hommes se qualifient de "féministes" et que le terme "pro-féministe" soit utilisé exclusivement par les femmes pour désigner les hommes alliés ? Ça me semble absurde de ne pas utiliser un même terme pour désigner les mêmes personnes. Personnellement quand j'ai découvert le terme "pro-féministe" je l'ai vu comme une forme d'humilité et de prise de conscience du fossé entre la condition d'homme et de femme au sein de la lutte féministe, je ne l'ai pas vu comme un moyen de me distinguer pour me mettre en avant…

    En ce qui concerne la suite du document, en fait le terme "proféministe" aurait très bien pu être remplacé par "féministe" que ça me semblerait tout aussi valable, aussi je ne sais pas vraiment si ça a un lien avec la première section.

    Si quelqu'un⋅e a des éclaircissements, je suis preneur :)
    − Yvain
    Tue May 5 11:49:18 2015 - permalink -
    - http://smg.ouvaton.org/dl/1/profeministe.pdf
    féminisme sexisme vocabulaire
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