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  • L’antiracisme idéaliste | Mignon Chaton
    « Dans cet article nous nous proposons de critiquer deux analyses, que nous jugeons idéalistes, du racisme et qui sont, selon nous, surtout propres à ce que l’on pourrait appeler la gauche française, à savoir la sociale-démocratie humaniste et universaliste, et l’extrême- gauche marxiste. »
    Soit 1) l'antiracisme "moi je vois pas les couleurs", « pacifisme racial » plutôt qu'antiracisme à vrai dire (et qui rappelle certaines comédies du cinéma français), et 2) l'antiracisme fantasmant une unité passée et perdue du prolétariat.
    − Yvain
    Tue Aug 16 17:05:55 2016 - permalink -
    - https://mignonchatonblog.wordpress.com/2016/07/23/lantiracisme-idealiste/
    marxisme matérialisme racisme
  • [PDF] « Grandeur et limites du romantisme révolutionnaire », par Anselm Jappe
    « Le romantisme a longtemps été considéré, à gauche notamment, comme une critique réactionnaire de la modernité. On disqualifiait par là toutes les potentialités émancipatrices de cette tradition. La critique romantique des conséquences aliénantes de la production capitaliste sur la vie quotidienne ne constitue-t-elle pas pourtant une possible ressource pour la contestation théorique et politique du capitalisme ? Anselm Jappe se propose ici d'examiner le romantisme dans sa diversité et ses contradictions, d'en souligner la dimension critique, mais aussi l'ambivalence et les insuffisances, à travers la lecture de deux ouvrages de Michael Löwy et Robert Sayre. »

    Après une recension assez longue des différents auteurs et courants que Löwy et Sayre classent dans "romantisme", les deux dernières pages, qui constituent la dernière partie intitulée « Les deux critiques du capitalisme : circulation et production », dressent une critique de l'anticapitalisme tronqué qu'on peut trouver dans pas mal de ces œuvres, tout en soulignant qu'en parallèle ces œuvres peuvent véhiculer une critique plus profonde de l'existence qu'un économicisme orthodoxe type "redistribution des richesses". Voici un extrait du début :

    « Leur concept de romantisme est tellement vaste qu'il englobe finalement presque tous ceux qui ne sont pas positivistes et progressistes *stricto sensu* […]. Ils choisissent dans chaque auteur ce qui leur semble "anticapitaliste", même si cela n'occupe qu'une toute petite place dans sa production, et ils font abstraction du reste. […] Löwy et Sayre admettent eux-mêmes qu'il est impossible d'isoler une "position commune" sur quoi que ce soit entre leurs auteurs, à part une certaine référence positive au passé (et encore).

    Leur manière de "ratisser large" n'a pas seulement une dimension méthodologique, mais aussi politique. Il peut y avoir de bonnes comme de mauvaises raisons pour détester le capitalisme, ou pour affirmer qu'on le déteste. Le problème commence lorsque la critique se limite à un seul aspect, comme l'intérêt monétaire, l'argent ou le commerce. C'est ce que la terminologie marxiste appelle une critique de la seule "sphère de la circulation", qui n'atteint pas la "sphère de la production". La différence est capitale, surtout dans ses conséquences. Les attaques qui ne visent que la circulation (typiquement, le seul capital financier) conduisent au proudhonisme, mais également à l'idéologie nazie qui opposait elle aussi le bon "capital créatif et travailleur" (allemand) au mauvais "capital parasite" (juif). Ce genre de critique n'est pas un "premier pas dans la bonne direction", mais peut au contraire mener au pire. »

    (Copie : http://docdro.id/epJCWms)
    − Yvain
    Fri Jun 17 17:08:09 2016 - permalink -
    - http://sd-1.archive-host.com/membres/up/4519779941507678/Grandeur_et_limites_du_romantisme_revolution_A_Jappe.pdf
    antisémitisme capitalisme marxisme romantisme
  • Comme tombés du ciel - Qu’ils soient « modérés » ou « extrémistes » : Contre tous les dieux, contre tous les maîtres | Non Fides
    Un rappel sur le problème que constituent intrinsèquement les religions et la pensée religieuse.
    Dire que les religions sont intrumentalisées à certaines fins nauséabondes est incontestablement juste, mais ne constitue pas une excuse envers les religions.

    « même si ces gens pathétiques visent la France pour ses guerres au Moyen-Orient, le Hezbollah pour ses positions stratégiques, les forces kurdes à cause de prétentions géopolitiques dans la région, ils justifient les tueries de gens qui ne sont qu’indirectement impliqués, ou pas impliqués du tout, parce que ces gens sont des pêcheurs, des mécréants, des sodomites, des apostats, des profanes, tout simplement. »

    Les religions peuvent aussi, évidemment, être instrumentalisées à des fins à l'opposé absolu de tout ça : et alors ? Ce n'est pas pour autant qu'elles constitueraient un "outil neutre", tel un couteau pouvant être utilisé aussi bien pour faire le bien que pour faire le mal.
    La religion, en tout cas sous la forme qu'elle prend dans ce que je peux en voir, contient déjà, à la base, un problème, dans la mesure où elle consiste à croire certaines choses sans aucune preuve, et à valoriser ce mode de pensée (la "foi"), pourtant stupide.

    Il va de soi que ce que je dis là ne constitue pas une attaque envers les individus (les croyants), mais bien envers la croyance elle-même.

    « Ceci n’est pas un appel à la violence inter-communautaire. Ceci n’est qu’un petit rappel du fait que la religion, toutes les religions, sont une des causes principales de la misère sur cette terre. Qu’elle n’est pas réductible aux explications économiques ou géopolitiques. »

    « Notre problème n’est pas tant les « extrémistes » religieux ou les « modérés », notre problème n’est pas tant l’islam, le judaïsme ou le christianisme, mais bien LA RELIGION. Et quiconque n’analysera les événements en cours qu’en fonction de raisonnements géopolitiques, historiques, sociologiques ou même psychologiques, quiconque refusera d’analyser le caractère religieux de ces événements devra être accusé et questionné sur sa complaisance avec les religions, sa démagogie envers les « croyants » et son rapport populiste et politicien au monde. »

    En revanche on peut analyser ce caractère religieux tout en considérant qu'il est un produit découlant d'une base matérielle (conditions, forces et rapports de production), mais ça n'est pas absolument mécanique et à sens unique (cf. http://wikirouge.net/Infrastructure_et_superstructure).

    « La misère sur cette terre pousse des gens à faire confiance aux cieux des dieux, au mysticisme, au scientisme, au nationalisme et à ses unités nationales. »

    Car on peut tuer au nom de la religion, mais aussi au nom de pensées patriotiques xénophobes, par exemple. Et si même la confiance contemporaine aveugle dans la Science et la Technique n'est qu'un produit découlant de notre nouvelle base matérielle, il est bon de les questionner aussi.
    − Yvain
    Wed Dec 2 16:58:03 2015 - permalink -
    - http://www.non-fides.fr/?Comme-tombes-du-ciel
    attentats marxisme religion
  • La logique formelle et la dialectique | Révolution
    Présentation de la logique formelle et du dépassement de celle-ci que constitue la dialectique, qui avec le matérialisme forme la base de la philosophie marxiste.
    − Yvain
    Wed Nov 25 10:23:44 2015 - permalink -
    - http://www.marxiste.org/theorie/philosophie/516-la-logique-formelle-et-la-dialectique
    dialectique marxisme philosophie
  • « La Grande Dévalorisation. Pourquoi la spéculation et la dette de l’État ne sont pas les causes de la crise » - Le blog de Comite pour une Nouvelle Resistance- CNR
    − Yvain
    Thu Nov 12 16:23:13 2015 - permalink -
    - http://comite-pour-une-nouvelle-resistance.over-blog.com/article-la-grande-devalorisation-pourquoi-la-speculation-et-la-dette-de-l-etat-ne-sont-pas-les-causes-de-123649373.html
    capitalisme marxisme valeur
  • thumbnail
    Conférence "Les dangers de la suraccumulation en Chine : une analyse marxiste" par Mylène GAULARD | Vimeo
    Dans le mille.
    (et la conclusion de cette conférence sur la situation économique en Chine est sans équivoque : http://www.lesenrages.antifa-net.fr/toute-tentative-de-reforme-du-mode-de-production-capitaliste-releve-de-la-pure-naivete/)
    − Yvain
    Sat Oct 31 15:08:18 2015 - permalink -
    - https://vimeo.com/54225605
    capitalisme chine marxisme
  • Herbert Marcuse, philosophe radical | Zones subversives
    − Yvain
    Tue Aug 11 10:18:24 2015 - permalink -
    - http://www.zones-subversives.com/2015/07/herbert-marcuse-philosophe-radical.html
    marchandise marcuse marxisme philosophie
  • Lutte des classes : quand Judith Bernard agite son hochet… | Confusionnisme.info - Riff's Links
    On "pourrait", oui… mais ça serait hautement improbable (mais pas impossible pour autant, donc).

    « Si l’on tire au sort 1000 personnes, il y a 95 % de chances que les résultats des actes qu’elles effectueront seront identiques à ce qu’aurait fait la population entière, et ceci avec une marge d’erreur sur le résultat des décisions de ± 3 % (calcul d’intervalle de confiance). Ainsi, si 60 % des Français sont opposés à un projet de loi et que l’on tire au sort 1000 personnes, entre 57 % et 63 % des tirés au sort seront aussi opposés à cette décision avec une probabilité de 95 %. Ce sont là des gages de représentativité jamais atteints avec des élections. » (http://lavraiedemocratie.fr/10-iii-a-les-benefices-du-choix-du.html)

    D'après mes (lointains) souvenirs de stats, c'est ça l'idée.

    Une remarque par rapport à ça : https://n.survol.fr/n/non-le-tirage-au-sort-nest-pas-representatif
    Réflexion intéressante, mais qui n'est "problématique" que pour des sujets très précis où l'opinion est divisée en 2. L'exemple de Judith Bernard (90% / 10%) n'est pas vraiment menacé par ce type de problème.

    Autre réflexion, qui là par contre me semble tout à fait valable : https://parleragauche.wordpress.com/2014/10/15/ce-que-ne-regle-pas-le-tirage-au-sort/ . Il y aurait pas mal à en dire, je ferais peut-être un billet là dessus. Mais l'idée c'est que la proposition du tirage au sort d'une assemblée constituante est parfois avancée comme une "solution à tout". C'est à dire qu'il suffirait de faire papoter ~1000 types au hasard et d'accepter sans broncher ce qui sortira de tout ça, parce que "c'est démocratique".

    Cette façon de penser me semble faire abstraction de tout un tas de paramètres (médias, capital social, culturel, économique, symbolique des "sélectionnés", etc). Le tirage au sort peut certainement avoir des utilisations ingénieuses, mais malheureusement la façon dont il est souvent présenté est une version dépolitisante, où l'idéal serait carrément que les "sélectionnés" n'aient « aucune idée préconçue ». Ceci afin de mener une politique "sans idéologie". Neutre. Une politique purement rationnelle, gestionnaire… ça ne vous rappelle rien ?

    Pour le coup, dans la suite de l'interview, Judith Bernard en dit un peu plus, c'est assez intéressant. Ça y parle justement de dépolitisation, d'hégémonie culturelle, du rôle des partis. Mais je la trouve quand même légère, notamment quand elle dit « Dans une assemblée tirée au sort, la lutte des classes a lieu mais elle est purement argumentative. ». Parce que du coup ce n'est plus de la lutte, or la lutte et la praxis sont fondamentales dans la pensée marxiste, dans la construction de la conscience de classe. L'aspect purement "argumentatif" me semble une vision assez "bourgeoise" de la chose, et je rejoins le raisonnement d'Ornella Guyet.
    − Yvain
    Fri Jul 10 00:06:13 2015 - permalink -
    - http://www.seven-ash-street.fr/links/?CGY71A
    luttes marxisme tirage-au-sort
  • Qu’est-ce que la dialectique ? | Revue Que Faire ?
    Toujours sur la #dialectique.
    « Le fait que tout change tout le temps en fonction de l’interaction des différents éléments signifie d’une part que tout est formé par ce à quoi il s’oppose, et d’autre part que toute chose inclut en elle-même des contradictions. Ce sont justement ces contradictions qui l’obligent à être en mouvement constant. »
    − Yvain
    Wed May 20 16:16:43 2015 - permalink -
    - http://quefaire.lautre.net/Qu-est-ce-que-la-dialectique
    dialectique marxisme
  • A quoi peut servir la dialectique? | Contretemps
    « Conclusion : Les tâches des dialecticiens critiques

    J'ai déjà décrit une partie de ces tâches. L'intellectuel et le militant doivent (i) définir les bonnes questions, celles qui sont de nature à être réellement importante pour le devenir de nos sociétés, (ii) combattre le discours dominant en imposant une contre offensive idéologique sur le sens des mots, (iii) éclairer les logiques d'ensemble et tacher de relier ce que la classe dominante s'acharne à ne pas connecter, (iv) renouveler l'analyse des grandes contradictions à l'œuvre dans le capitalisme qui permettent de dessiner les devenirs possibles. Je n'ai pas traité d'un cinquième aspect de la dialectique qui concerne le passage du quantitatif aux qualitatif. Le raisonnement dialectique accorde une grande importance aux faits qu'une accumulation moléculaire d'évènements invisibles peut déboucher sur des changements qualitatifs brutaux. Les potentialités de basculement du système capitaliste sont importantes. Pour cette raison, nous devons être attentifs à l'accumulation invisible (e.g variation du nombre de journées de grève dans une année ou des actes contre les musulmans et les juifs) et se préparer à des changements politiques et sociaux brutaux. »

    Intéressant mais pas simple à piger ce concept de dialectique.
    − Yvain
    Wed May 20 16:10:12 2015 - permalink -
    - http://www.contretemps.eu/interventions/quoi-peut-servir-dialectique
    dialectique marxisme
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